
Un journaliste demanda un jour au célèbre chef d’orchestre Leonard Bernstein :
« Maestro, quel est l’instrument le plus difficile à diriger ? »
Sans hésiter, il répondit :
« Le second violon. Sans lui, capable de s’accorder au premier, il n’y aurait jamais de musique d’une beauté harmonieuse. Pourtant, bien peu jouent cette partie avec autant de fierté et de passion que celui qui tient la mélodie principale. »